Remède cognitif, thérapie interpersonnelle

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La thérapie cognitive aide les individus à identifier les distorsions de pensée et à comprendre à quel point ils ont un impact négatif sur leur vie. Par exemple, les gens pourraient imaginer une solution « tout ou rien » (« si ce n’est pas parfait, c’est un échec complet »). Cela suppose que les sentiments et le comportement de la personne concernée sont déterminés par la manière la plus fine dont elle interprète ses expériences. Grâce à l’identification de leurs hypothèses personnelles et de leurs croyances internes, les patients peuvent commencer à percevoir leurs expériences différemment, réduisant ainsi leurs symptômes et améliorant leurs habitudes et leurs émotions.

La thérapie interpersonnelle, initialement conçue comme une courte thérapie psychologique contre le désespoir – page d’accueil, vise à améliorer la qualité des relations interpersonnelles d’une personne déprimée. Il se concentre sur :

  • Une angoisse non résolue
  • Des conflits surviennent lorsque les rôles diffèrent des attentes privées (par exemple lorsqu’une femme entre dans une relation avec l’espoir d’être une femme au foyer et se rend compte qu’elle doit aider la famille).
  • Transitions dans les rôles sociaux (comme passer d’un travail actif à la retraite)
  • Difficulté à communiquer avec les autres
  • Le thérapeute apprend à la personne concernée à améliorer les caractéristiques des relations interpersonnelles, comme surmonter l’isolement social et réagir d’une manière différente par rapport aux autres.

Psychanalyse

La psychanalyse est la première forme de psychothérapie et a été développée par Sigmund Freud au début du XXe siècle. Le patient rencontre souvent le thérapeute quatre à cinq fois par semaine et, allongé sur le divan d’examen, essaie d’exprimer chacune de ses pensées, selon la pratique décrite comme “les associations libres”.

L’objectif est, en grande partie, d’aider l’individu à comprendre l’importance du passé sur la situation actuelle. La relation entre le patient et le thérapeute est une partie importante de cette compréhension. La conscience de la manière dont le passé affecte le présent aide le sujet à développer de nouvelles méthodes d’interaction avec les autres dans les sphères personnelle et professionnelle.

Remède psychodynamique

La psychothérapie psychodynamique, comme la psychanalyse, met l’accent sur la reconnaissance des mécanismes inconscients au moyen d’idées, de sentiments et de comportements présents. Cependant, le patient est souvent assis plutôt que couché et n’assiste qu’à 1 à 3 séances par semaine. De plus, l’accent est moins mis sur la relation entre le patient et le thérapeute.

Psychothérapie de soutien

Remède psychodynamique

La psychothérapie de soutien, probablement la plus répandue, repose sur la relation empathique et solidaire entre la personne affectée et le thérapeute. Encouragez à exprimer vos émotions et le thérapeute coopère en proposant des solutions aux problèmes. La psychothérapie centrée sur les problèmes, une forme de thérapie de soutien, peut être utilisée efficacement par les médecins de soins principaux.

Remède électroconvulsif. En thérapie électroconvulsive, des électrodes sont placées sur la tête et, pendant que la personne affectée est sous anesthésie, une série de chocs électriques sont délivrés au cerveau pour provoquer une brève crise. Il a été démontré que ce remède est le meilleur en cas de désespoir grave.

  • De nombreuses personnes qui suivent cette procédure souffrent d’amnésie momentanée. Cependant, contrairement à ce que rapportent les médias, la thérapie par électrochocs est protégée et n’entraîne pratiquement aucun autre problème. L’utilisation à la mode d’anesthésiques et de relaxants musculaires a considérablement réduit les dangers. thérapies de stimulation cérébrale
  • Il existe différentes thérapies de stimulation mentale, similaires à la stimulation magnétique transcrânienne répétitive et à la stimulation du nerf vague, qui aideront les personnes souffrant de dépression qui ne répondent pas aux médicaments ou à la psychothérapie. De telles thérapies consistent à activer ou à stimuler instantanément l’esprit avec des champs magnétiques ou des implants qui stimulent le nerf vague.
  • On pense que les cellules stimulées libèrent des messagers chimiques (neurotransmetteurs), qui aident à moduler l’humeur et devraient par la suite atténuer les signes de désespoir.
  • L’anxiété est un sentiment de nervosité, de peur ou de malaise habituellement ressenti par les humains. Il peut être présent dans divers troubles psychiatriques, notamment le dysfonctionnement anxieux généralisé, le dysfonctionnement panique et les phobies. Bien que chacune de ces maladies soit totalement différente, elles se caractérisent toutes par des souffrances et des dysfonctionnements spécifiquement associés à l’anxiété et à l’inquiétude.

En plus de l’anxiété, des signes physiques sont régulièrement présents, comme un essoufflement, des étourdissements, des sueurs, un rythme cardiaque rapide et/ou des tremblements. Les problèmes d’anxiété modifient généralement radicalement le comportement quotidien des individus, les obligeant même à rester à l’écart de certains problèmes et conditions.

Le diagnostic est posé à partir de critères particuliers préétablis. La plupart des individus bénéficient énormément de la médecine, de la psychothérapie ou des deux.

L’anxiété est une réponse traditionnelle au danger ou au stress psychologique. L’anxiété de type normal a ses racines dans la peur et est nécessaire car elle est essentielle à la survie. Face à un danger, la nervosité induit une réaction de lutte ou de fuite. En association avec cette réponse, de nombreux ajustements physiques se produisent, semblables à un flux sanguin élevé vers les intestins et les tissus musculaires, qui fournissent la vitalité et l’énergie nécessaires pour faire face à une situation dangereuse, semblable à la fuite d’un animal agressif ou à l’attaque d’un animal. un attaquant.

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